Bande de clients, prenez votre plume ! C’est comme ça que j’ai terminé ma dernière conversation avec un client. Je suis soulagé de lui avoir fait comprendre qu’il fallait qu’il écrive vraiment, sans prendre de gants. 24 heures après, 3 formidables articles avaient émergés de son imagination, générant en prime quelques backlinks ; et pourtant…
Et là, je me réveille, tout ça n’était qu’un rêve. Des clients qui rédigent ? Malheureux, surtout pas, ça prend du temps !
Même si le lien reste la base d’un positionnement et sans parler stratégie d’architecture et de rédactionnel de folie, il est évident que sans contenu, tu peux toujours avancer aussi vite que tu veux avec ton Alpha Romeo, ton possible prospect sera déjà entre les mains de ton concurrent.
Pourtant, lui aussi a la même Alpha Romeo que toi, sauf qu’il lui a rajouté lui-même une remorque qui lui permet d’embarquer plus de clients.
Tu comprends la métaphore avec un site Internet ?
- Pas de contenu, pas de clients
- Plus de contenu tu as, un peu plus de ventes tu feras
- Plus de contenu véritable et différenciant tu as, encore plus de ventes tu feras
Entre nous, viens me le dire à l’oreille, tu préfères la solution 1, la solution 2 ou la solution 3 ?
La solution 3 ? Ça tombe bien, parce que moi aussi. Oui, moi aussi j’ai envie que ça fonctionne pour toi. Après tout, on est dans le même bateau, si ça marche pour toi, ça marche pour moi. Et inversement.
Solution 1 : pas de production de contenu
La solution 1 consiste à ne rien faire, ni toi ni les autres. Et là c’est bullshit. C’est un peu comme si tu espères vendre plus sans pour autant agrandir la surface de ton étal au marché.
Solution 2 : l’agence SEO produit 100% du contenu
La solution 2 consiste à donner la totalité du travail à faire à l’agence SEO. Tu achètes un étal de marché plus grand mais ton étal et loin d’être rempli et d’avoir de beaux produits.
On est une petite agence de province de 4 personnes. Et comme tout provincial (ou pas), j’ai remué des kilos de terre. Quand j’étais jeune, je travaillais tous les étés dans les champs et sur les marchés. La patronne est bien là pour t’expliquer qu’un grand étal semi-vide et moche, ça ne doit pas exister. Elle a raison. Les gens s’approchent de ton espace, parce qu’il est grand. Mais quand ils sont devant et qu’il n’y a que peu de marchandise de qualité, ils se tournent vite vers le stand d’à coté.
Nous en avons écrit des articles sur la téléphonie, le management, la chirurgie, le PVC ou encore l’éducation d’un bébé.
Mais entre nous, tu es vraiment certain qu’on en parle bien ? Que ça transpire l’extase ? Que le contenu montre une totale expertise ? On se mélange au final. On finit par écrire des articles sur comment téléphoner à un bébé à l’aide d’une bouteille en PVC.
Solution 3 : partage intelligent de la stratégie de contenu
La solution 3 consiste à agir en bonne intelligence avec l’agence SEO, comme avec nous. La question fondamentale c’est de savoir sur quels terrains on excelle et sur quel terrain, ô grand client tu assures. Le constat est limpide : Nous sommes excellents dans le montage d’un grand stand et de la mise en avant des produits. Et toi, ô cher client, tu es exceptionnel dans la sélection de meilleurs légumes.
Et c’est là que le duo s’avère très performant à terme.
As-tu déjà vu un agriculteur demander à un prestataire :
- De cueillir les fruits
- De monter le banc du marché
- De mettre en place des produits
- D’afficher les meilleurs fruits
- De discuter avec la clientèle
- Et te ramener un maximum de pognon ? Moi non.
Par contre, j’ai vu de très nombreuses réussites sur le marchés des producteurs :
- Faisant appel à des bras pour monter le stand
- Faisant appel à des bras pour aider à vendre
- Gardant directement la production, la vente des produits et la tchatche client
Cependant, en temps qu’agence SEO ou indépendant, nous avons notre responsabilité. J’en parlais avec Franck au téléphone, et l’enjeu est là : convaincre du bien fondé de la partie rédactionnelle.
Autant nous sommes ultra-compétents sur la partie stratégie de contenu et tout ce que ça comporte (architecture, optimisation, public cible, méthode de communication), autant la vraie compétence métier et vie de l’entreprise appartient au client. La stratégie de contenu et sa crédibilité web est indispensable.
Par ailleurs, pas plus tard que hier, un client à qui nous avons monté une partie de la stratégie de contenu, m’a signifié au téléphone la phrase suivante au sujet du rédactionnel : « Faites la police et tapez nous sur les doigts si ce n’est pas fait ».
Donnez moi un fouet.
Crédits images : unitedsoybean & bakchich
Bande de clients, prenez votre plume ! Pas sur d’oser un jour le dire comme ça, ni d’ailleurs que ce soit le plus efficace pour inciter le client. Mais en rêve, ça fait du bien.
J’ai vu aussi souvent des discours comme : Voilà la liste de mes mots-clés, vous allez faire le contenu. Avec effectivement un résultat disons moyen avec beaucoup d’indulgence. Je crois que je vais faire lire souvent cette page à mes clients. =)
Merci pour l’article.
Combien de fois on a dit aux clients de produire et de mettre à jour leur contenu ? Sur dix clients, il y en a peut-être un seul qui va t’écouter. La plupart du temps, ils ont d’autres chats à fouetter. Ce n’est quand même pas à l’agence d’écrire tout le contenu surtout qu’elle n’est souvent pas du tout experte dans le domaine du client. Bien sûr, on dit souvent que le contenu est roi mais si et seulement s’il est pertinent et efficace. Beaucoup n’ont pas encore cette notion et préfèrent confier toute la rédaction de toutes ses pages à une agence. C’est peut-être une bonne idée, mais ce n’est pas suffisant. Personne ne connaitra mieux que le client son domaine d’expertise.
@Fabien : Mais avec plaisir, profite s’en et montre cet article à tes clients. L’idée c’est au delà du mot-clé, de les accompagner sur que faire et comment.
@Stéphane : Clairement d’accord. Disons que faute de mieux, autant que l’agence prenne en charge le contenu, c’est mieux que rien. Mais à choisir, motivons les clients à le faire, c’est d’autant plus puissant si c’est bien fait.
Ah le rédaction de contenu, c’est vrai que c’est quand même long à réaliser. Quand je peux j’en poste sur le site de mon entreprise mais ça passe toujours en dernier ce type d’action alors que c’est de l’investissement pour plus tard. Pas facile.
Miam ! Je me suis régalé 🙂 Y’a toujours une constante que j’aime dans tes articles, c’est le ton et les illustrations. Ca fait du bien, ça donne envie de lire.
J’aimerai revenir sur la solution 2 : On est d’accord que ceux qui en théorie parlent le mieux de leurs produits, ce sont les clients. En temps que freelance, je refuse de faire du contenu pour les raisons évoquées, mais également pour une logique de charge de travail et de temps. Et je mets en garde mes clients/prospects : vous ne voulez pas vous occuper du contenu ? Vous voulez que ce soit le prestataire qui le rédige ? Vous avez 1 risque sur 2 pour qu’il sous-traite à son tour à Mada, ou sur un marketplace comme textbroker (tu connais bien) avec les risques que l’on connait.
Je mets un point d’honneur à ne plus prendre de clients qui ne veulent pas s’investir dans leur contenu et leur communication. Le hic c’est que bien souvent ils te disent « oui on est motivé » au départ, ils font deux articles en suant sang et eau, et après pffft plus rien. Ce sont les nouveaux naufragés du web. Pour eux bien souvent, adwords reste la seule alternative viable.
Tres bon article – mais ca reste tellement difficile de faire comprendre cela au client – tout du moins de lui faire prendre le temps de rediger son contenu et pas seulement « revoir » le notre ou celui d’un prestataire.
La dessus j’ai de la chance – avec moi les mecs il faisaient l’effort parce que lorsqu’ils demandaient du contenu a réponse etait rapide – « I am not a copy writer and I am French… sure you want me to write your content??? «
faire rédiger les articles par des clients ce n’est pas toujours possible car généralement ces derniers non ni le temps ni la capacité de le faire, mise à part quelques secteurs en relation avec la communication et la gestion de personnel…
Malheureusement, on est obligé – comme indiqué dans un précédent commentaire – de faire appel à des prestataires externes, et là il faut bien connaître la personne car on est jamais loin d’une mauvaise surprise.
Il y a encore du travail à faire pour convaincre les gens de l’importance du contenu dans le référencement
Très bel article !
C’est évident que l’expertise paye très largement dans une stratégie de contenu.
Mais il y a tout de même beaucoup de problématiques évidentes. Selon la taille de l’entreprise, il n’y a pas forcément une bonne plume, ni un moyen de production de contenu suffisant.
Car écrire de la soupe ça peut aller très vite, écrire un article pertinent, documenté, imagé, corrigé, qui correspond aux valeurs d’une entreprise, cela peut vite prendre des heures…
Mais bon dans le principe, c’est ce qu’il faudrait mettre en place pour que ce soit toujours parfaitement efficace.
Et puis la presta externe, pour du texte de faible à moyenne qualité les coûts passent, pour du contenu qualitatif, s’il faut rédiger 200 articles, on commence à tomber sur un budget indigeste pour beaucoup d’entreprises et ce n’est pas encore dans la culture du web d’imaginer que le contenu rédactionnel d’un site va coûter autant ou plus que la structure du site….
Globalement, merci pour vos retours positifs sur l’article et surtout merci de commenter, les gens tweetent beaucoup mais commentent guère.
@Aurélien : Bien sûr que dans la solution 2, les textes sont régulièrement sous-traités, en plus ailleurs. C’est pas cher et facile. Tu es dans la bonne logique avec les clients mais de mon coté en tout, il est quand même compliqué de dire « non » à un possible contrat parce que le client ne souhaite pas s’investir sur le rédactionnel.
@Le Juge : Excellent ! Je vais faire la même chose en langue corse. 🙂
@Pierre : C’est clair que le coût temps ou prix du rédactionnel est explosif. C’est compliqué à faire comprendre et à admettre même si on légitime les résultats au bout.
Pour le fouet, pas de problème, j’ai toutes les tailles, demande-moi.
Sinon, ouais, tout à fait d’accord, à un bémol près :
– ils peuvent mettre 100 ans à pondre un truc (quelle que soit la taille du fouet)
– parfois, ils écrivent comme des vaches espagnoles (qui, c’est bien connu, regardent les algorithmes passer comme les trains… mais je m’aperçois que je confonds peut-être avec un autre comm’ sur un autre site qui parlait d’opti on-site… ).
Auquel cas, il existe – il me semble – une 3ème solution, qui consiste à les faire s’exprimer oralement sur leur sujet – le sujet, ils le maîtrisent mieux que personne, tu l’as très bien dit – et ensuite prendre une tierce personne (ou toi, si c’est dans tes cordes) pour en faire un texte qui se tienne.
Ciao petit Castrais
Très bon, je te rejoins tellement (logique). L’agence avec qui je travaille a fait comprendre qu’il valait mieux utiliser les heures à améliorer l’étalage. Quand le client a compris ça, c’était comme le rêve dont tu parles.
Pourtant j’ai eu l’occaz de bouffer de l’article sur l’incontinence, j’avoue m’être bien lâcher…
(la vanne était facile je l’admet) 🙂
Bonjour,
Les métaphores de cet article sont sympa.
Juste un truc : la production de contenu, la rédaction, quel que soit le domaine d’activité ne fait pas partie du métier du client… Si je reprends l’image du marchand de légumes, il est là pour faire pousser et vendre des légumes, pas pour écrire des articles à propos de ses légumes.
C’est le contexte web actuel impose la création de contenu. Bien sûr il n’y a pas de meilleure personne que le chef de son entreprise pour parler de son sujet en accord avec l’esprit de sa boite, mais comme dit plus haut dans les commentaires, il a d’autres priorités que d’écrire des articles sur un blog…
Peut-être qu’il prendra le temps, un jour, d’écrire un article, mais quand ? Et ça donnera quoi ? Va dire à ton client qui te soumet un article que c’est nul… 🙂
« Euh Client comment dire… tu te fous de moi ? Tu trouves ça intéressant ce que t’as écrit ? »
Le problème, c’est qu’il ne s’agit pas de contenu mais de qualité du contenu. Et c’est là que ça coince le plus souvent…
J’ai un doc sur comment bien rédiger un article et tenir un blog que je file à mes clients… Et bah rien que de le lire, ça les saoule déjà 🙂
Mais bon effectivement dans un monde idéal, c’est le client qui fait son contenu lui même. Et si ton article peut en convaincre encore quelques-uns, c’est cool 🙂
@Emmanuelle @Valentin : Sacrément intéressant votre point de vue, qui va plus loin que le sens de mon article.
Il est clair que je n’ai pas abordé pas partie « le client ne sais pas écrire ». A l’évidence, un client, et c’est bien normal, n’écrira pas comme on le souhaite. C’est là où il faut mettre en place une organisation performante pour un travail collectif. Un prochain article sur le sujet peut-être 😉
Merci pour vos beaux commentaires !
C’est marrant ton article!! C’est vraiment ce que j’essaie de faire comprendre à tout mes clients!! C’est eux qui ont le savoir, la connaissance de leur métier, de leur produit, ils sont donc les mieux placés pour en parler! Après, rien n’empêche de retoucher légèrement leur texte! Mais un texte fourni par le client (et travaillé, cela va de soir), c’est vraiment la meilleure des solutions. malheureusement beaucoup ne voient pas les choses comme ça…
Super article ! Drôle et facile à lire. Qui plus est, il traite d’un sujet auquel nous devons tous faire face : faire comprendre aux clients que le contenu dépend uniquement de leur volonté et que l’absence de contenu sur leur site dessert leur visibilité. Ils ont beau le comprendre, ils font rarement les efforts pour s’y mettre même s’ils parviennent à évaluer l’enjeu à long terme. Aussi, pour les plus réfractaires, reste la solution de rédiger à leur place en prenant soin de leur demander qu’ils nous délivrent le plus de documents écrits autour de leur activité (communiqués de presse, flyers, brochures…). Après, il peut être bien de disposer d’une base de bons rédacteurs sur les plateformes du type Textbroker. Pour les sites e-commerce, nul besoin d’être hyper spécialisé la plupart du temps. Quelqu’un qui rédige correctement peut faire l’affaire, à condition de prévoir le surcoût lié à la rédaction dans le devis initial.
Que le client rédige son contenu ? Oui s’il a suffisamment de temps et de bons acquis rédactionnels. Sinon mieux vaut faire appel à des professionnels de l’écrit ayant une bonne connaissance du secteur et/ou des capacités d’enquête de terrain. Je travaille avec des artisans et des e-commerçants, je peux vous assurer qu’il y a du boulot pour faire émerger de beaux contenus !
Pour moi, le client n’est souvent pas plus apte que le Seo a produire du bon contenu.
L’art du story telling, c’est un métier à part entière, bien écrire aussi.
J’ai déjà vu trop de contenus rédigés par des experts de leur secteur être imbitables pour leur clientèle.
Par contre, le client doit prendre le temps de participer au brief avec le seo et rester mobilisé pour les aller retour d’ajustement.
En fait, tout dépend du profil client. Si le client n’est vraiment pas bon, n’a vraiment pas le temps et à de l’argent, alors oui, partons plutôt sur une vraie prise d’information suivi du rédactionnel par des professionnels.
Pour les clients un peu fainéants, il y a des rédacteurs professionnels sur le web qui se chargent très bien de cette tâche ingrate. Mais soyons honnête, pour obtenir des articles de qualité susceptibles de recevoir des backlinks spontanés, il faut y mettre le prix, les rédacteurs lowcost pondent pour la plupart des bouses inutilisables…
Le client doit faire appel à des rédacteurs pro qui trouvent un compromis entre la rédaction (lecteurs) & le référencement (google) pour un contenu originale.
Sinon le résultat est connu d’avance, il rédigera lui même son contenu avec quelques retouches de son référenceur.
Hahaa
Vous m’avez tué Monsieur.
Votre article est drôle, mais a la fois instructive.
Évidemment, nous optons tous pour la solution 3.
À mon avis, les clients doivent confier la tache aux personnels compétents dans ce domaine.
En effet, le client dans la plupart des cas est un expert dans son domaine, il peut fournir un contenu très riche et informatif, et c’est ça ce que les visiteurs cherchent. Mais c’est pas facile de les convaincre.
Article pertinent qui ne manque pas de piquant! Merci.
Eh oui, les clients doivent aussi comprendre que le meilleur des rédacteurs web n’est rien sans contenu. Difficile cependant de les faire comprendre que le contenu fait vendre mais uniquement s’il est pertinent et apporte une valeur ajoutée. Mais qui connaît plus son domaine d’activité plus que le client? Eh bien c’est lui non? Mais puisqu’il n’a pas le temps, n’a pas forcément de bons acquis rédactionnels, il peut faire appel à des professionnels et collaborer avec eux.
Première fois que je viens sur votre blog et j’ai adoré ! Une chose est sure : je reviendrai.
Devant la nécessité de rédiger du contenu de qualité, cela fait quelques semaines que nous incitons nos clients à rédiger des textes pour le linking et à notre grande surprise, ils sont nombreux à accepter volontier ( a condition de bien leur exprimer l’intérêt pour leur site). Une fois les contenus reçus nous effectuons tout de même une optimisation des contenus avec l’insertion des mots clés … C’est un réel plaisir et j’apprécie retrouver mon métier de base : le référencement, qui s’était ces derniers temps un peu orienté vers celui de rédacteur web.
Illustration géniale et article au petits oignons, je sais vers où diriger mon prochain client récalcitrant devant son clavier… C’est juste une question de bon sens, et ta démonstration est magistrale. GG man.
Le client doit faire appel à des rédacteurs pro qui trouvent un compromis entre la rédaction (lecteurs) & le référencement (google) pour un contenu originale.
Sinon le résultat est connu d’avance, il rédigera lui même son contenu avec quelques retouches de son référenceur.
@Charlene : Accepter et une chose, tenir dans le durer en est une autre. Reviens me voir pour me dire ce qu’il en est dans la durée. A bientôt du coup !
@Sam : Merci pour ton commentaires et ton tweet qui fait plaisir.
Perso, c’est surtout la dernière métaphore qui m’inspire, on est là pour les mettre sur un piedestal et leur permettre de dire tout haut ce qu’actuellement ils disent tout bas. Mais effectivement, le discours leur appartient.
Dans les faits, je n’ai jamais réussi à faire écrire un client lui même. Mais en fait je m’aperçois que c’est parce qu’ils ont peur de se lancer (alors que pour un courrier de résiliation ça c’est facile…). Alors je fais des interviews, des réunions et finalement ça fonctionne bien et en plus du coup, le site fait l’unanimité.
Bande de client !
Salut,
Avoir des articles c’est facile, en revanche avoir des articles qui se partagent sur les réseaux sociaux…C’est autre chose. De plus maintenant le nombre de partage est pris en compte par Google. Le contenu doit avoir une touche d’originalité. Je fais actuellement des articles avec une vidéo pour expliquer l’article (vidéo sur youtube). Je suis éducateur canin, je montre ainsi mon expertise dans le domaine.
Tu le décris très bien dans la solution 3. C’est à nous de montrer toute notre expertise. Je vais le faire avec plus d’attention dans mon domaine.
Merci pour cet article.
Paul
merci d’avoir pris le temps de nou ecrire cette article , et comme vous l’avez cité « Pas de contenu, pas de clients ».
Bonjour Alexandre,
Je découvre ton blog suite à ton passage sur le mien et je dois avouer que cet article me fait franchement plaisir, car c’est ce que je vis quotidiennement et nous avons visiblement le même avis sur le sujet.
Si tu me le permets, je souhaite apporter deux solutions alternatives qui peuvent répondre à certaines objections de clients rapportées ici dans les commentaires.
La première répond au client qui veut bien se prêter au jeu, mais qui rédige comme un … pied: il faut lui proposer un service de correction/reformulation et mise en forme des articles qu’il aura lui-même rédigé avec ses tripes.
La seconde concerne les clients récalcitrants, mais leur coûtera forcément de l’argent, car c’est faire appel à des rédacteurs web spécialisés dans leur thématique.
Alicalement,
Bruno
Bruno TRITSCH : 100% d’accord avec toi sur les solutions. Sur mon billet, j’y suis allé franco. Les solutions alternatives et d’échanges de bons procédés existent.
Article qui va rester d’actu pour encore bien longtemps …
Les clients sont certes les plus aptes à expliquer ce qu’ils font mais pour qu’ils se décident à mettre cela par écrit … la grande majorité d’entre eux étant meilleurs orateurs, travailler en collaboration avec eux pour la rédaction du contenu me semble être la meilleure solution, le dictaphone peut apporter une aide précieuse en temps pour tout le monde.